Attention, nouvelle it-girl en orbite ! Elle a 16 ans, un regard qui transperce l’objectif, et une démarche qui dit “je suis là pour tout changer”. Voici Kai Schreiber, mannequin en pleine ascension, star en devenir… et surtout, la preuve vivante que la mode peut (enfin) se réinventer.
Fille de Naomi Watts et Liev Schreiber, Kai aurait pu se contenter d’un petit rôle dans un teen drama ou d’une marque de skincare bio. Mais non. Elle a choisi les projecteurs des podiums, les flashs, les tapis rouges, et le glamour Monroe version 2025.
L’an dernier, nombreux sont celles et ceux qui l’ont aperçu au premier rang du défilé haute couture Balenciaga, collée-serrée avec sa mère, dans un look noir à faire pâlir Morticia Addams : dentelle, satin, attitude 10/10. La planète mode commence à tendre l’oreille. Mais Kai ne s’arrête pas là.
Un an plus tard, elle fait ses premiers pas sur le podium chez Valentino, sous l’œil d’Alessandro Michele. Et là… BOUM. Mini-robe léopard, voile dramatique, vibes “j’ai 16 ans mais j’ai déjà tout compris à la vie (et à la mode)”. Elle a bossé sa démarche comme une pro – sa mère l’a filmée en boucle pendant des années, façon coach perso de supermodel.




Celine, IMG, Instagram : le triplé gagnant
Ce premier show, c’est son ticket d’or. Elle signe fissa avec l’agence IMG Models (rien que ça), décroche une campagne Pre-Fall pour Valentino, puis s’envole pour défiler chez Celine, pour la première collection très attendue de Michael Ryder. En robe fluide ivoire et chapeau de paille, elle est l’élégance incarnée – version Gen Z. Sa mère ? En larmes sur Instagram, évidemment.
Une génération qui ne demande pas la permission
Mais Kai ne défile pas juste pour le style. Elle redéfinit les règles. Transgenre, elle parle de son identité sans filtre ni pathos : « Lutter avec l’identité de genre dès mon plus jeune âge a très probablement forgé ma force de caractère », confiait-elle à Variety.
Dans la lignée de Hunter Schafer ou Alex Consani, elle ouvre la voie à une nouvelle idée de la féminité : plus libre, plus vraie, plus badass. Elle veut être Marilyn, mais en version consciente, inclusive et sans corset.
Ses parents ?
100 % derrière elle. Liev Schreiber raconte le moment où Kai lui a demandé de changer ses pronoms : “Franchement, je n’ai pas eu l’impression que c’était un gros deal. Kai avait toujours été si féminine.”
Avec son mélange de grâce et d’audace, Kai Schreiber ne joue pas dans la cour des débutantes. Elle marche, parle, incarne une mode qui ne veut plus rentrer dans des cases. Mannequin, muse, boule d’énergie et d’élégance. À suivre de (très) près… Avant qu’elle ne file encore plus haut.





